Stricto sensu, Juifs pour Jésus est une association de Juifs cherchant à communiquer à la communauté juive et aux goyim le message que le rebbe Nazaréenne Jeshua (le vrais nom hébreu de Jésus) – ou, Yechoua – est le Messie d’Israël.
On peut estimer que le nombre de Juifs croyant en Jésus se situe, au bas mot, à plusieurs dizaines de milliers dont la majeure partie vit en Israël, aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en France.
Nos milieux sociaux culturels reflètent la nature variée de l’expérience juive. Certains d’entre nous sont issus de familles orthodoxes ou traditionnelles ; d’autres étaient athées ou marxistes. Quelques-uns s’étaient détachés de leur héritage juif, alors que d’autres étaient très impliqués dans le judaïsme. Il est difficile de trouver le facteur commun – intellectuel, émotionnel, sociologique ou culturel – qui nous a conduits à la rencontre de celui dont Moïse et les prophètes ont parlé : Jésus de Nazareth.
Néanmoins, un consensus spirituel veut qu’aucune vie ne soit réellement équilibrée si elle ignore la culpabilité morale de l’homme, et sa séparation d’avec le Dieu Saint, l' Elohim Hashem Jehovah. Or le Créateur Divine, dans Sa grâce, a envoyé Jeshua (Yechoua) pour rétablir notre relation avec le Plus Haut, notre Créateur.
À vrai dire, l’existence des "Juifs pour Jésus" n’est pas un fait récent. Nous avons près de 2000 ans!
En effet, tous les premiers disciples de Jésus étaient juifs. Au cours des siècles, il a toujours existé des Juifs qui ont cru que Jésus était le Messie d’Israël. Mais l’accroissement spectaculaire du nombre de croyants juifs est un phénomène nouveau, et la proportion des Jeshuaists ou les Juifs qui suivre Jeshua (Jésus) est plus importante qu’à aucun autre moment, depuis le premier siècle.
Nous, Juifs qui croyons en Jeshua, ne considérons pas avoir abandonné nos racines juives. Au contraire, nous cherchons activement à examiner et à vivre notre foi en tant que Juifs disciples de Jeshua (Jésus). Nous nous considérons comme Juifs et faisant partie intégrante de la communauté juive, mais on a fait de nous des parias pour avoir voulu parler de Jeshua (Jésus), le Messie juif, à nos frères juifs.
La définition de «qui est Juif» continue à être débattue au sein de la Communauté juive. Il n’y a pas de consensus pour dire si l’appartenance au peuple juif doit être définie par la religion, la culture, les liens de parenté ou par simple «opinion majoritaire». Cependant, en termes bibliques, un Juif est une personne qui appartient au peuple issu de la descendance d’Abraham, d’Isaac et de Jacob – le peuple avec qui Dieu a fait alliance avec Abraham, Moïse, et David.
C’est Dieu Lui-même qui nous a créés Juifs; cela ne dépend donc ni de nos croyances, ni de nos actes personnels. Peut-être ceci explique pourquoi un bébé juif est juif bien avant d’avoir l’occasion de formuler une opinion quelconque sur la religion ou sur la culture! En fait, ceux d’entre nous qui sont devenus croyants en Jeshua (Yechoua) ont découvert, en même temps que notre foi en Dieu (elohim Hashem Jehovah), une responsabilité plus profonde envers notre héritage, notre culture, nos traditions et notre peuple.
Le terme «Chrétien» provient du grec «christos», traduction de l’hébreu «machiah» - en français «oint». Le fait de fréquenter telle ou telle Église catholique ou protestante ne confère pas la qualité de Chrétien, pas plus que le fait d’être né en Europe ou en Amérique du Nord. Le Chrétien est plutôt celui – Juif ou Gentil – qui a reconnu Jeshua (Yechoua) Jésus comme son Sauveur et Seigneur. Autrement dit, devenir Chrétien est une affaire personnelle entre un individu et Dieu ; personne ne peut «naître Chrétien». Il faut «naître de nouveau».
Parmi les millions de personnes qui prétendent de nos jours être chrétiennes, beaucoup se laissent-elles guider par la sagesse céleste? Un grand nombre de nations de la chrétienté affirment que tous les gens nés à l’intérieur de leurs frontières sont chrétiens, catholiques ou protestants, et ceux-ci sont enregistrés comme tels sur les registres d’état civil. Lorsque ces personnes grandissent et deviennent adultes, montrent-elles par leur conduite qu’elles sont vraiment chrétiennes?
La majorité de ceux qui prétendent être chrétiens ne correspondent certainement pas à cette description, parce qu’ils préfèrent se conformer à ce qu’on appelle la “nouvelle morale”. Même les ecclésiastiques qui baptisent ces gens pour en faire des membres de leur Église parlent favorablement de cette “nouvelle morale” qui permet l’adultère, la fornication et l’homosexualité, et qui suscite des jalousies et toutes sortes de pratiques viles parmi ceux qui s’y conforment.
La Bible nous apprend à être respectueux des lois. Elle nous dit également de continuer à chercher d’abord le Royaume et la justice de Dieu. Les vrais chrétiens n’ont jamais tenté de s’emparer du pouvoir, dans aucun pays.
Les serviteurs de Dieu doivent être unis quelle que soit leur nationalité (Romains 2:11 ; Éphésiens 4:1-6). Ils doivent donner d’eux-mêmes avec joie pour venir en aide à leurs coreligionnaires (2 Corinthiens 9:7).
De nombreuses dispositions de la Loi mosaïque ont servi de protection et de guide aux Israélites jusqu’à l’arrivée de Christ (Galates 3:24). Les chrétiens ne sont toutefois pas tenus de respecter cette Loi afin d’adorer Dieu. Dans sa lettre adressée aux Hébreux — des chrétiens d’origine juive — Paul donne de nombreux éclaircissements sur la signification de la Loi et sur la réalisation du dessein de Dieu en Christ. Il explique que plusieurs parties de la Loi avaient une valeur prophétique. Par exemple, les sacrifices d’animaux représentaient la mort sacrificielle de Jésus, qui rend possible le pardon des péchés (Hébreux 10:1-4). Par la mort de Jésus, Dieu a annulé l’alliance de la Loi, vu qu’elle n’était plus nécessaire. — Colossiens 2:13-17 ; Hébreux 8:13.
Aujourd’hui des vies ont besoin d’être sauvées. Nous sommes arrivés à “la conclusion du système de choses”, c’est-à-dire du système mondial tout entier dominé par Satan ou l' adversaire de Dieu. Maintenant le monde est en proie au ‘mépris de la loi qui va en augmentant’. (Matthieu 24:7-13; Luc 21:10, 11.) Les nations sont dans l’angoisse et aucune d’entre elles ne sait comment sortir de cette situation.
Pour aider les humains qui désirent vivre, les vrais chrétiens participent aujourd’hui à une œuvre de salut, accomplissant ainsi cette autre partie de la grande prophétie de Jésus: “Et cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée par toute la terre habitée, en témoignage pour toutes les nations; et alors viendra la fin.” — Matthieu 24:14.
Jean-Baptiste appela son cousin Jésus-Christ “l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde”. (Jean 1:29.) Ce terme symbolique est appliqué à Jésus-Christ dans le dernier livre de la sainte Bible, où Jésus est appelé de nombreuses fois “l’Agneau”.
Jeshua ou Jésus-Christ fut le plus grand des Juifs, car il était le Messie juif, le Christ. Salomon, le roi de Jérusalem, fut l’homme le plus sage des temps anciens aussi longtemps qu’il marcha dans la voie de Jéhovah ; mais Jésus-Christ était plus grand que Salomon, il savait ce dont nous avons besoin pour gagner la vie éternelle.
Jésus montra qu’une plus grande connaissance était absolument indispensable pour obtenir la vie. Si un homme cherche à se connaître lui-même, la seule chose qu’il pourra conclure en toute honnêteté c’est qu’il est imparfait et pécheur comme tous les autres hommes et que la voie du salut n’est pas en lui-même ni en d’autres hommes. Même ce qui lui reste de la conscience héritée d’Adam, l’homme qui fut parfait, lui rappellera qu’il est un pécheur et le condamnera.
La voie du salut, les moyens de gagner la vie éternelle, ne se trouvent pas dans l’homme, même s’il reçoit une loi parfaite. Pendant quinze siècles, la nation juive vécut sous la loi que Jéhovah lui donna par Moïse. Mais cette bonne et sainte loi de Dieu était plus que ce que les Juifs pouvaient accomplir et elle ne servit qu’à leur faire voir davantage qu’ils étaient pécheurs. L’apôtre Paul résuma en ces mots la leçon qui devait en être tirée : “ Or nous savons que tout ce que la loi dit, elle l’adresse à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée et que tout le monde soit sous la condamnation devant Dieu, attendu que par des œuvres de la loi nulle chair ne sera justifiée devant lui ; car c’est par le moyen de la loi que [l’on a] la pleine connaissance du péché. ” (Rom. 3:19, 20, La) Comme nous pouvons être heureux aujourd’hui, de ne pas être obligés de repasser par les quinze siècles d’expériences d’Israël pour trouver que notre salut ne vient pas de nos propres efforts de justification!
Afin d’être sages pour le salut éternel, nous devons prêter attention aux paroles de Celui qui est plus grand que Salomon, c’est-à-dire Jeshua ou Jésus-Christ. Lorsqu’il était sur la terre, Jésus dit aux hommes et aux femmes de le suivre et de l’imiter. Nous pouvons le faire en entreprenant l’œuvre qu’il a accomplie.
Né en qualité d’homme parfait par le miracle de Jéhovah Dieu, son Père céleste, Jésus fut le seul homme qui pouvait offrir sa vie en sacrifice pour la rançon des humains, leur permettant ainsi d’obtenir la vie éternelle dans le monde nouveau.
Mais avant d’offrir sa vie, quelle œuvre a-t-il entreprise qui était agréable à Dieu et en même temps de la plus haute importance? À quelle œuvre, qu’il considérait comme étant de la plus grande nécessité pour les hommes se trouvant devant la destruction, se consacra-t-il?
Au temps marqué, fixé dans la prophétie, il abandonna son métier de charpentier pour commencer l’œuvre de prédication. Il savait que cela le conduirait au martyre au milieu de la disgrâce publique, mais néanmoins il se consacra à répandre la connaissance de Jéhovah Dieu. Ainsi, il fit de la prédication de la Parole de Dieu la plus haute vocation. Ce monde peut se moquer de la prédication de la Bible comme étant folle et peu pratique, spécialement dans cette période critique de l’histoire du monde, mais le monde et ses éminentes situations politiques, ses places dans le haut commerce et ses chaires religieuses honorées, ne pourraient jamais nous offrir une vocation plus importante que celle dont Jeshua (Jésus) nous laissa le modèle. À cause de sa course fidèle au milieu d’un monde hostile et ingrat, il gagna le titre de “ témoin fidèle et véritable. ” (Apoc. 3:14 ; 1:5)
Jeshua savait la valeur de la connaissance de Dieu et c’est pourquoi il dit : “ Je suis le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent, comme le Père me connaît et comme je connais le Père; et je donne ma vie pour mes brebis. ” Dans sa dernière prière pendant son séjour terrestre, alors qu’il était avec ses brebis, il déclara: “ Père juste, le monde, en effet, n’est pas parvenu à ta connaissance, mais moi, je suis parvenu à ta connaissance. ” (Jean 10:14, 15 ; 17:25, NW) C’est sa propre connaissance de Dieu qui permit à Jésus de prendre fermement position pour la souveraineté universelle de Dieu et d’exécuter son dessein bienveillant envers l’humanité, quoi qu’il puisse lui en coûter. Aussi, dans sa dernière prière adressée à Dieu, au milieu de ses fidèles apôtres, déclara-t-il à son Père céleste : “ Glorifie ton fils, afin que ton fils puisse te glorifier, selon que tu lui as donné autorité sur toute chair, afin qu’il puisse accorder la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés. Ceci signifie la vie éternelle, qu’ils reçoivent la connaissance de toi, le seul vrai Dieu, et de celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. ” — Jean 17:1-3
La plus grande étude de l’homme, c’est Dieu et Jésus-Christ le Principal Représentant de Dieu. Il est vrai que Dieu est invisible et tellement en dehors de la portée humaine, et cependant Dieu a rendu cette étude de lui-même possible à l’homme grâce à sa Parole écrite et l’aide de sa force éclairante ou esprit. Une telle étude traite des choses les plus élevées et nous conduit à des résultats de la plus haute importance. Nous devons poursuivre cette étude si nous voulons recevoir la connaissance qui signifie la vie éternelle dans le monde nouveau.
Quand nous étudions l’homme, nous étudions une créature mortelle. Quand nous étudions Dieu, nous étudions le Créateur et Donateur de la vie. Il est certainement plus important de connaître le Créateur et d’entrer en relation avec lui que d’étudier des créatures terrestres pécheresses condamnées à la mort. Il est certainement plus important également de connaître le Principal Représentant de la vie employé par le Créateur que de nous intéresser à des créatures qui ont elles-mêmes besoin de vie et qui ne peuvent se sauver elles-mêmes. L’étude supérieure conduit à la vie éternelle.
Pour les Jeshuaists le rebbe Jeshua (Jésus) est notre Instructeur et, sans aucun doute, il sait comment nous faire connaître la voie qui conduit à une existence éternelle dans la paix et dans le bonheur. Nous voulons être des enfants de l’Élohim et suivre le grand exemple de l' envoyer de Dieu. Pour nous, frères, comme Isaac, nous sommes enfants de la promesse. C’est pourquoi frères, nous ne sommes pas enfants de la servante, mais de la femme libre. — Gal. 4:26-28, 31, NW.
Dieu a invité son Fils royal, Jésus-Christ, à être son compagnon instructeur. Pour cette raison spéciale Jésus déclara à ses disciples : “ Mais vous, ne vous faites pas appeler Rabbi ; car un seul est votre Maître [Instructeur], et vous êtes tous frères. Ne vous faites pas appeler directeurs, car un seul est votre Directeur, le Christ. ” (Mat. 23:8, 10) Ainsi nous devons être enseignés de Jéhovah Dieu par l’intermédiaire de Jeshua (Jésus-Christ).
Étant donné que cet enseignement vient par l’intermédiaire de Jeshua (Jésus-Christ) qui est le Principal Instructeur, beaucoup refusent d’être enseignés, car ils ne désirent pas devenir semblables à leur Instructeur. Par conséquent, tous les hommes et toutes les femmes ne sont pas admis ou ne demandent pas à être admis dans cette école de la plus haute instruction, mais seulement ceux qui aiment et craignent Jéhovah Dieu et qui sont attirés par lui. Jeshua (ou Jésus) montra clairement cela lorsqu’il déclara : “ Nul ne peut venir à moi si le Père qui m’a envoyé ne l’attire, et je le ressusciterai au dernier jour. Il est écrit dans les Prophètes : ‘ Ils seront tous enseignés de Jéhovah. ’ Ainsi, quiconque a entendu et reçu l’enseignement du Père vient à moi. ” (Jean 6:44, 45, NW)
Tout l’enseignement contenu dans la Bible depuis la première page jusqu’à la dernière concerne la destruction des hommes, faute de connaissance de Dieu le Créateur et Sauveur. Afin de pourvoir à ce besoin, Dieu offre aux hommes la connaissance contenue dans son Livre inspiré. Par conséquent, nous qui voulons être ses fidèles témoins, ayons cela à l’esprit et ne nous tournons pas vers quelque chose d’autre. Dispensons uniquement la pure Parole de Dieu pour son honneur et pour le salut des hommes. C’est parce que le clergé religieux de la chrétienté n’a pas fait cela et parce qu’il a imité le clergé des jours de Jésus que maintenant son tour est venu d’être “ taillé en pièces par les prophètes et tué par les paroles de la bouche de Dieu. ”
À tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en Jeshua son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu.
Revêtez-vous du Seigneur Jésus-Christ et ne vous préoccupez pas de satisfaire les désirs de l’homme livré à lui-même.
Nous sommes des gens dans une nouvelle humanité ou il n’y a plus de différence entre Juifs et non-Juifs, entre circoncis et incirconcis, étrangers, barbares, esclaves, hommes libres: il n’y a plus que le Christ, lui qui est tout et en tous.
Le peuple juif n’est pas hors de portée de la puissance salvatrice de Dieu. Nous sommes enthousiasmés par un avenir dans lequel le peuple juif aime et embrasse le Messie qui est venu les libérer.
Jeshua (Yechoua/Jésus) lui même a déclaré qu’il était venu pour « les brebis perdues de la maison d’Israël » ; c’est seulement quelques années après sa résurrection que les communautés juives messianiques de Jérusalem se rendirent compte que Dieu voulait que la bonne nouvelle de la mort et de la résurrection de Jeshua (Yechoua) soit prêchée aux Goyim aussi.
Jeshua (Yechoua ou Jésus) lui-même a affirmé qu’il n’était « pas venu pour abolir la Torah mais pour l’accomplir » et il n’est pas venu pour établir une nouvelle religion, mais pour vous donner une relation avec Dieu.
Jeshua (Yechoua ou Jésus) est venu abolir toutes les différences d’échelles sociales, etc. Dans les lettres de Paul, 3x il est mentionné qu’il n’y a plus devant Dieu, donc qu’il n’y a plus dans l’église, donc qu’il n’y a plus parmi les chrétiens, de différences entre juifs (devenus chrétiens ou Jeshuaists) et grecs (devenus chrétiens) et barbares (devenus chrétiens). Plus de différences entre hommes libres et esclaves, entre femme et homme, etc. Ces listes ne sont pas exhaustives. Dans le sens, elles sont générales. Elles concernent chaque différence. Devant Dieu, il n’y a plus de différence du tout. Jacques développe lui aussi, dans une de ses lettres de ne faire acception de personne. C’est à dire, de ne pas accueillir, ou encore placer les personnes, selon leur richesse ou leur célébrité et de donner la même importance au « plus petit » en apparence qu’au « plus grand ». Sans parler des Évangiles …
Par la grâce seule, Sola gratia. Le salut est une grâce de Dieu. Personne sur la terre, d’ailleurs, n’est capable de se donner le salut ou de le donner à d’autres.
Les disciples de Jeshua (Jésus Christ envoyé de Dieu) dans l’histoire et de nos jours sont convaincus que seul Dieu a la capacité de nous sauver. Dieu nous fait grâce.